En même temps, nos chances de claquer de la grippe machin chose, ici dans nos gentils pays industrialisés, sont faibles.
On n'est pas sous-alimentés, on ne vit pas dans la misère.
Et surtout, si on est malade, on claque des doigts, et on a accès à un truc qui s'appelle "médecin".
Les ravages de l'épidémie au Mexique sont en partie liée à une réalité économique tout à fait autre, où beaucoup de monde vit dans des conditions précaires et avec un accès limité aux soins médicaux. Donc les gens attendent trop longtemps avant d'être vus par un médecin, et tout et tout.
Ici, les personnes "à risque" sont finalement les mêmes que pour la grippe "normale" : les personnes âgés, les petits enfants et les personnes affaiblies.