pièce raportée

Je ne sais pas trop qui je suis. Je suis bien leur fils mais je ne pense pas avoir ma place au sein de cette famille. Déclic obtenu dans la voiture alors que l'on était en route pour les 50 ans à ma mère. J'dois pas être très joli et agréable à regarder ou alors on s'en tape le coquillard de moi...?

Je donne souvent de ma personne, quand il faut aider surtout, de toute façon je fait pratiquement que ça... ça en deviens lourd et usant de toujours faire pour que la famille est un sourire et non pas une tête de 3 pieds de long, mais quand ça va pas, ya qui..?

j'ai pas honte, je pleur souvent, devant le PC mais avant je m'étouffe avec mon oreiller. pas envi de leur donné une joie de savoir que ça me touche cette indifférence.

Toujours est-il que ça joue sur mes pensées. Incapable de savoir si quelqu'un tiens à moi sans qu'il me le répète au moins 1 fois par jour, et pour les amours c'est facilement 1 fois par heure.

Je gérais ça avant, cette mise à l'écart, mais maintenant non, je suis fatigué et dans cette période de l'année qui me répugne (comme les autre d'ailleurs) je me fais de plus en plus fatigué. Je dis rien pour pas inquiéter mes proches mais ma famille ne le vois pas.

besoin qu'on me dise que je sert à quelque chose, sinon j'répond pas de ce que je pourrais faire en conséquence. Tant qu'il y a de la vie, ya de l'espoir...sauf que c'est moi qui le donne au autre cet espoir et que pour moi, je ne le vois pas...

l'impression de donné des masses et rien voir arrivé quand le couteau me rentre dans le dos.

Question conne qui me vient à l'esprit dans un premier temps: t'as tenté de l'expliquer à tes parents, cette impression, que leur indifférence ça te touche quelque part ?

Et qu'est-ce qui fait que dans la voiture tu n'as pas eu l'impression d'être de la famille ? Pourquoi le déclic à ce moment-là ?

Après, tu as 22 ans, t'as pensé à partir de chez tes parents ?
Vu que leur attitude te pèse sérieusement, t'éloigner un moment ça ne pourrait pas te faire du bien ?

Parce-que c'est tes parents, et je comprends bien que t'aimerais que vos relations soient bonnes ou du moins qu'ils te témoignent un peu plus que ce qu'ils font à présent parce-que je me doute que avoir affaire à un mur ça n'est pas ce qu'il y a de plus passionnant.

Pour ce qui est ton besoin de reconnaissance, t'as cherché à savoir d'où il venait ? Ou c'est "depuis toujours" qu'il est présent ?
Pourquoi ce besoin constant que tes personnes proches te déclarent leurs sentiments ?

Manque de confiance en toi ?

Est-ce que c'est depuis toujours que tes parents sont un mur ?
Si c'est le cas, je pense que t'essaie de compensé ce qu'eux ne t'ont pas donné avec ce que ta copine et tes amis te donnent. Donc besoin de rattraper plusieurs années de vies sans réelle affection, et vu que tu as aussi peu confiance en toi, ça aide pas vraiment non plus à te convaincre qu'on PEUT réellement t'apprécier.

Et je sais qu’on n’arrête pas de t'en parler, mais je crois que toi-même tu vois qu'il serait peut-être quand même temps de partir ? Apprendre à te reconstruire ailleurs, sans leurs effets négatifs sur toi. (Re)Prendre confiance en toi petit à petit.

Oui tu sers à quelque chose, on sert tous à quelque chose.

Après une idées qui me vient comme ça, est ce que ta famille ne t'éviterais pas parce que tu leur fais peur, parce qu'ils sentent que tu caches quelque chose?
Est ce que tu essaye de rentrer dans les conversations, d'y mettre du tiens, et de ne pas seulement être là quand ca ne va pas, mais essayer de passer des bons moments?

J'ai souvent l'impression moi aussi que je suis pas à ma place dans ma famille mais quand j'y met du mien généralement ca fonctionne un minimum. Après vu comment tu décris ta famille je penses pas que ce soit possible mais bon c'est une idée.

Ensuite je vois que tu te dis souvent que tu donnes beaucoup aux autres mais que tu ne reçoit rien en retour, j'ai l'impression que ca te fais plus souffrir qu'autre chose alors pourquoi vouloir toujours aider tout le monde?

Pourquoi l'espoir que tu donnes aux autres tu n'arrives pas à te le donner à toi même, c'est si différent?

Mais je pense sincèrement que si cette situation te bouffe tu dois faire quelque choses soit tenter de renouer le dialogue avec tes parents, ou sois partir, mais tu ne peux pas rester comme ca.

Et enfin tu nous le dis souvent, mais je te le dis à toi aussi, nous on est là, pour t'écouter,t'aider, et te soutenir si t'as besoin.

Joker : j'ai tenté de leur parler comme quoi ils ne m'écoutaient pas. J'en ai encore eu la preuve ce soir...comme tout les soirs.
Dans la voiture car j'étais avec eux et que j'ai vu que là ou pas je n'étais qu'un fantôme.

partir oui, mais j'ai la sécurité de la bouf, d'un toit...et j'ai peur de partir maintenant, j'ai pas encore finis mes études et niveau aide j'ai rien. Sinon j'y avais pensé.

oui manque de confiance en moi et puis j'ai passé ma phase d'ado et je résonne autrement sur ma famille, avant je m'en foutais, maintenant je me dis que c'est du gachi...oui ça a toujours été présent.


Huakintos: j'aime pas me décharger et là je pense que je suis dans ma phase de mutisme, et j'ai pas envi de parler.

Plume : c'est paradoxal mais aider me fait vivre, mais aider me fait mal parfois, de tout prendre en charge, ça me touche trop, et je sais pas dire non^^
C'est différent de pas avoir d'espoir, car je me sens d'une inutilité ici, et ça peut me faire basculé dans là où je me trouvé avant (dépression et mutilation abondantes)
Peur d'arrivé comme ce soir, déçu...et sans patience...

besoin de pleuré un peu là...le dessin ne m'aidera pas ce soir non plus.

Tu connais mon avis à ce sujet ... faudrait que tu leur en parles. Tu dis "j'ai pas envie de leur donner la joie de savoir que leur indifférence me fait du mal" mais peut être qu'à force de cacher que ça te blesse, ils ont fini par croire que tu t'en fous d'eux.
C'est peut être pour ça qu'ils ne t'écoutent pas.
Tu leur as parlé de ça, maintenant essaie de dire que tu vas mal. Par exemple, là tu as envie de pleurer, tu devrais aller voir ta mère ou ton père et dire que ça va pas. S'ils te voient pleurer, qu'ils voient la carapace se fissurer, ça leur fera peut être prendre conscience que tu as besoin d'eux, que tu t'en fous pas.

Je pense aussi que plus tu te montres toi même comme le gars à qui on peut tout dire, qui écoute tout le temps et qui essaie de tout régler, plus les gens en profites, sans faire exprès, mais tu deviens celui qui n'a pas de problème et qui aide les autres.
Tu peux trouver une autre utilité.

Mon conseil est donc : donne moins et demande plus.

Mais ce n'est qu'un conseil.

Je n'irais pas les voir Briséïs...clair et définitif

Tu refuses de les voir pour quel(s) raison(s) ?
Parce-qu'après eux ils ne peuvent peut-être pas deviner comment toi tu ressens la situation.


Leur faire une lettre peut-être ?
Par écrit c'est parfois plus facile pour toi déjà et ensuite pour eux ça a plus d'impact, ils peuvent la relire à souhait et tenter de comprendre.

Je comprends que c'est clairement la solution le plus pratique, parce-qu'avoir un toit et à manger c'est assez primordiale.
Après tu dis que tu t'es renseigné pour les aides et que ça n'est pas possible, okay, mais possibilité peut-être de terminer tes études ailleurs, histoire justement d'avoir des aides et de t'éloigner en même temps de tes parents ?

Pourquoi tu accordes tant d'importance à ce que peuvent bien penser tes parents de toi ?
Je veux dire l'attitude je-m'en-foutisme que tu qualifiais d'ado elle avait l'avantage de moins te prendre la tête que maintenant.



Pleur si ça te fait du bien, si ça peut t'éviter de faire carnage sur toi-même, ou du moins limiter la casse.

j'suis posé là et ça me fait peur...car je sais que j'ai de quoi me faire mal et que j'ai juste un pas à franchir...

J'ai pas envi de leur parler, j'ai essayé par le passé, ça n'a pas marcher...je ne vais pas non plus leur écrire une lettre...

j'veux juste poser ma peine quelque part...je sais pas si j'attend de l'aide...

je la verrais sans doute pas

Ecris, occupe-toi les mains, écoute de la musique.

Sors prendre l'air si ça peut t'aider et éloigne l'objet en question.


Si tu as posté ça c'est que tu attends quelque part de l'aide, laisse nous te la donner.

j'arrive même plus à dessiner...
Je sais pas ce que je vais faire mais peut-être pas rester là à péter mon cable en solitaire.
Je sais pas...besoin de crier, de me défouler...mais ça n'arrivera qu'en silence, ici les murs ont des oreilles

Sors, va quelque part, dans la forêt (si t'en à une prêt de chez toi), dans un endroit isolé, n'importe où d'un peu désert et cris si ça te défoule, tu peux courir aussi au cas ou hurler n'est pas possible ça défoule.

Tu peux aussi prendre une douche glacée ça remet pas mal les idées en place en peu de temps.

Tu ne la verras sans doute pas... quoi, qui ?

Après, concrètement, vachement l'impression que tu tournes en boucle.

Et, au risque de te heurter, un peu l'impression qu'il va falloir que tu fasses des choix, pour ne pas souffrir en boucle toujours des mêmes situations.

J'veux dire...

Je comprends tout à fait que tu souffres de l'impression "d'aider à sens unique". C'est difficile à gérer, ça fait se sentir invisible.

Après, j'ai une impression de cercle vicieux, à te lire.

Dis moi si je me plante, mais impression que ça marche un peu comme ca :

Tu as eu des gens dans ton entourage qui ont abusé de ton aide et n'ont pas été là pour toi en retour (ta famille, certains amis) ---> tu en as déduis que tu n'es pas digne d'intérêt sauf quand tu apportes une aide, et que parler de toi c'est perdre les gens ou se heurter à un mur --->Tu es convaincu de n'exister pour les autres que quand tu leur apportes de l'aide --->Tu refuses de lâcher ce rôle "d'aide", même si tu en souffres, parce que c'est insupportable et beaucoup trop angoissant de risquer de devenir invisible --->Tu te présentes au premier abord comme "le mec qui est là pour aider et pas pour parler de lui --->Du coup, les gens te voient comme le mec solide et en attendent toujours plus de toi (pour les gens qui n'arrivent pas à voir que c'est une protection et une apparence) --->Si les gens essaient d'aller au delà de ta carapace, tu as peur, tu as peur que ça se retourne contre toi, tu repousses l'aide, et tu te remets dans le rôle de celui qui aide tout le monde sans attendre d'aide.

Et concrètement, ça te bouffe.

Si tu n'arrives pas à un moment donné à avoir peur un grand coup et aller contre tes réflexes, dans 20 ans, tu en seras au même point. Tu seras toujours la bonne poire à qui on téléphone quand on a une merde et qu'on a besoin de parler. Et tu seras toujours celui qu'on voit comme un roc qui n'a besoin de rien.

C'est clairement un risque à prendre. Je me doute que tu as horriblement peur d'attendre de l'aide et d'espérer autre chose, parce que tu ne te sens pas nécessairement la force d'affronter une nouvelle déception en la matière.

Après, je doute que tu changeras ton entourage et tes relations avec eux. Les habitudes entre toi et eux sont trop ancrées. Mêmes tes amis actuels IRL, ça sera difficile de leur faire voir le "Nouvel Emeraude", alors qu'ils ont fréquenté une carapace pendant des années.

Après, peut-être au moins ne pas tomber dans le même piège avec les nouvelles relations ? Te laisser une porte ouverte pour parler et être toi même au moins avec les nouvelles personnes (en l'occurence nous, vu que nous ne connaissons pas le Emeraude-qui-affronte-tout-sans-broncher et que, à l'opposé de ta famille, nous SAVONS que tu passes tes soirées à chialer dans ton oreiller, et que tout ça te touche vraiment).

C'est un risque. Qui vaut vraiment la peine d'être pris, à mon sens.

l

Tellement l'impression que tout le monde s'en branle de moi...qu'on me laisse dans mon coin à pourrir...putain ça me gave...et ce soir c'est le soir le soir de trop.

Je hais la chaleur en plus, elle me le rend tellement bien que les premier saignement de nez on commencer, cool...j'suis trop content...

Mais franchement ouai ta raison, c'est un cercle vicieux et j'en suis en plein de dedans...

J'vais finir par me pendre parce que j'vais en avoir ras le cul de toujours remonter pour mieux descendre par la suite.

mais je peux m'en prendre qu'a moi même vu que je dis rien, que je fais rien........

envi de tellement me foutre par la fenêtre ce soir bordel............................................................................ fais chier quoi

Et tu crois vraiment que si tout le monde s'en foutait de toi, on serait là à répondre ?

Ce cercle vicieux, il est là, point, tu t'en rend compte, tu expose le problème et je trouve que c'est déjà sacrément un bon pas en avant parce-que tu essayes de comprendre.
Maintenant il ne tient qu'à toi de changer celà, clairement ça ne seras pas facile vu que c'est ton mode de fonctionner depuis pas mal de temps, mais c'est POSSIBLE.

Et non se défenestrer ne va pas faire avancer la chose..

Comme l'a dit Jocker... On est en train de te répondre... Ce qui est une bien étrange manière de te laisser dans ton coin !

Il se passe quoi, là ce soir, pour te fouttre dans un état pareil ?

Et je repose la question : quand tu dis "je ne la verrai pas", tu parles de quoi, ou de qui ?

Caramel a écrit:

Et je repose la question : quand tu dis "je ne la verrai pas", tu parles de quoi, ou de qui ?

je ne sais pas de quoi tu parles ou de quoi j'ai voulu parler, j'ai pas retrouvé.

sinon il m'est arrivé un gros ras le bol, qui continu ce soir là...avec ce si beau conseil de classe te mes parents qui s'en foutent royal de ma baisse de résultats... mais bon on s'en fou...

plus envi de me battrre là.

Pourquoi ça serait à tes parents de se "préoccuper" de ta baisse de note ?

J'veux dire, tu as 22 ans et j'imagine qu'ils se doutent qu'à cet-âge tu bosses pour toi pas pour faire plaisir à papa et maman.

Gros ras-le-bol, expliques ?
Pourquoi tu t'obstines à ne pas vouloir nous expliquer qu'est-ce qui se passe pour te mettre dans un état ?
J'me doute bien que ça n'est pas facile sinon tu ne réagirais pas de cet façon..

Mais nous on est là, et on assiste au spectacle sans pouvoir faire quoi que ce soit pour essayer de t'aider..

Emeraude a écrit:

j'suis posé là et ça me fait peur...car je sais que j'ai de quoi me faire mal et que j'ai juste un pas à franchir...

J'ai pas envi de leur parler, j'ai essayé par le passé, ça n'a pas marcher...je ne vais pas non plus leur écrire une lettre...

j'veux juste poser ma peine quelque part...je sais pas si j'attend de l'aide...

je la verrais sans doute pas

C'est de ce post que je voulais parler.

pourquoi ce ras le bol.

surrement parceque j'ai des "visions" de ma propre vie extérieur à moi ou sur un autre plan de pensé et que je me fait peur, que je me fait pitié, mais là je me suis ressenti seul...d'une solitude extrème dans cette voiture qui nous emmener tous vers sa soirée d'anniversaire à ma mère.

je me fais peur souvent de me décripter moi même de ce que j'aurais du faire ou pas...mais là je ne sais plus trop quoi faire, j'ai déjà tent essayer, mais j'ai plus la patience...

caramel, c'est l'aide que je verrais pas forcément, quand je suis mal, triste, énervé, je suis aveuglé...

là j'en ai juste ras le pompom...

Tu as tout essayé ?

Euh... 'scuse moi, mais à 22 ans (ou à 50, ou à 90), ça me parait vachement présomptueux d'imaginer que tu as TOUT essayé.

De plus, ce n'est pas parce qu'un truc à foiré une fois ou 10 fois qu'il va refoirer la fois d'après : les choses changent, les gens aussi.

Franchement, j'avoue que tu as, ces temps ci, le prototype de l'attitude pleurnicharde avec 0 constructivité à la clé qui me donne envie de t'envoyer de l'eau glacée sur la figure pour te réveiller.

Arrête ton char, sérieusement.

Impression que tu refuses d'essayer quoi que ce soit qu'on te propose, que tu refuses toute aide, que tu refuses toute écoute constructive.
Impression que tu veux juste qu'on lise que ça va mal.

C'est bien gentil mais... On y peut quoi, nous, si ça va mal ? On a envie de t'aider, et chaque proposition tu la repousses d'un revers de la main...

Ok, tu n'es pas habitué à recevoir de l'aide. Mais si tu as, régulièrement, cette attitude là, je comprends tout à fait les gens qui n'essaient plus de t'aider : c'est un peu "gavant" d'essayer, d'essayer, et d'avoir pour seul écho un truc mou et sans réaction autre que se plaindre de son sort.

J'veux dire... OUI ta situation n'est pas simple. OUI c'est légitime que ça te foute mal. Je ne dis pas que tu ne devrais pas poster et tout garder pour toi parce que tu nous "déranges".

Ce qui est dérangeant, ce n'est pas le fait que tu parles de ce qui ne va pas, c'est ton intertie en retour.

Concrètement, tu ne fais pas grand chose pour faire changer la situation.
Même le soutien de personnes qui sont VOLONTAIRES pour t'aider (donc non, pas forcée, pas dérangées, tout ca), tu le repousses sous prétexte de réflexes et d'habitudes.

Mais si tu ne t'arraches pas un peu les tripes et la gueule pour aller contre tes réflexes, dans 50 ans, soit tu en seras toujours au même point, soit tu te seras butté.

Parce que oui, une partie des problèmes viennent de ta famille, mais une partie de tes problèmes viennent de toi, de tes habitudes, des choses que ta famille t'a appris et que tu n'essaie même pas de "désapprendre".

On est bien d'accord, ça n'est pas facile. Ça ne se fera pas en un jour. Et personne n'attends de toi que tu y arrives en claquant des doigts.
Mais une chose est sure, si tu n'essaies même pas, tu n'as aucune chance que le miracle s'opère tout seul.

Je ne crois strictement pas, si tu gardes le même état d'esprit de victime passive, que tu iras mieux quand tu n'habiteras plus chez tes parents : tu es certes victime d'une situation difficile, là on est d'accord. Mais dans ton attitude, tu te victimises jusqu'au bout des ongles, et sincèrement, tu vas toujours te mettre dans des situations où tu seras le bon con dont on profite, et tu t'en plaindras stérilement sans rien faire pour inverser la tendance. Que ça soit au taf, avec tes potes, dans ton couple, tout ça.
Si tu refuses de te bouger, tu vas attirer à toi uniquement les cons qui voient en toi une bonne vache à lait à traire. Parce que ça t'arrangera, quelque part : c'est un rôle que tu connais par cœur.

Bouge toi. C'est clairement possible. Vraiment.

encore une semaine de finie...dur, il m'en reste pas des masses avant mon dernier oral et la "délivrance" pour mes futur vacances.

ma binomes qui ma fait quasi explosé sur msn en apprenant qu'elle avait mater la TV au lieu de bosser sa partie de rapport...dur, fallait l'imprimer le lendemain. Course folle pour l'impression...

reste à obtenir une réponses à mes coups de fils pour un jobs d'été, une école pour l'année prochaines.

grosse chaleur et mal de crane...ça va être encore un été de merde je le sens...

vivement septembre

Tu en es à quoi, de ce coté là ?

Moi ce que je demandais, c'est concrètement, à quoi tu en es de tes examens / dossiers à rendre / trucs à faire pour les cours, qui te stressaient parce que ton binome n'avait pas fait sa part du taf. Tu as pu les rendre dans les délais, les exas se sont bien passés, tout ca ?